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En vrac

Bon, j’ai perdu mon premier texte par une fausse manip. Il faut que je réécrive tout. Mais ce ne sera pas le même. J’ai un peu envie de pleurer de rage, là. Je vais respirer, bien fort, bien lentement, desserrer les dents, et recommencer.

Je commençais mon teste précédent pas : Je suis triste. Ca fait un moment que ça couvre et la fatigue n’arrange rien. Mes nuits sont agitées de brouillard et chaque jour je lutte contre ses résidus. Je suis triste parce que je ne me sens pas à ma place, ici et maintenant jour après jour. J’expérimente mais il semble que rien ne soit fait pour moi. Je m’interroge, me sermonne, m’encourage, me développement personnel, et me lasse de tous ces efforts vains.

Je pense à Angot et son plan B. (je n’ai pas encaissé son « toujours », si je peux comprendre l’attrait de certaines personnes pour une vie « normale » en tous cas, le fantasme qu’ils en ont. Et puis, je note aussi qu’elle évoqué le métier d’avocat, pas caissier.ère, ni maçon.) Bref, j’y pense parce que qu’une partie de moi voudrait faire vivre cette vie sans question.

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